Le classement féminin du Ballon d’Or suscite également l’incrédulité.
Si certaines joueuses brillantes peinent à se frayer un chemin parmi les têtes de liste, d’autres, pourtant éloignées des terrains ou moins en vue, parviennent à s’y glisser.
La 14e place d’Ada Hegerberg, souvent blessée, et la présence d’Alexia Putellas dans le top 10 malgré des performances en demi-teinte interrogent.
Grace Geyoro, reléguée à la 30e place, s’interroge sur l’objectivité des choix : « Les votants regardent-ils les matchs ? LOL », a-t-elle lancé sur Twitter, soulevant des questions sur la pertinence du vote.