La vice-championne olympique Sarah Ourahmoune a annoncé lundi qu’elle retire sa candidature à la co-présidence de la Fédération française de boxe.
Victime d’attaques racistes et sexistes, l’ancienne boxeuse de 42 ans a déclaré que sa décision lui « coûte énormément », mais qu’elle refuse de cautionner une campagne marquée par la haine.
Ourahmoune s’était alliée avec Dominique Nato, actuel président, pour cette candidature conjointe. Malgré son retrait, Nato maintient sa candidature, tout comme Estelle Mossely, championne olympique de 2016. Les élections auront lieu le 14 décembre.